Le Daring club Motema pembe (DCMP) de Kinshasa, a tenu son assemblée générale d’évaluation ce lundi 30 juillet 2018.
L’équipe s’est félicitée pour son objectif réalisé qui était de signer son retour à la campagne Africaine de football la saison prochaine de 2019-2020 soit la coupe de la Confédération de la CAF. il a été dit dans l’Assemblée que tous les joueurs de l’équipe sont transférable à part deux joueurs seulement. À noter qu’après la phase retour de la vodacom ligue 1 , deux joueurs seulement ont quitté l’équipe à l’occurrence de Kazadi Kasengu dit Zedio qui a pris la direction de l’Égypte et Dago Tshibamba en Russie dans un club Évoluant en division 1 .
A en croire Hassan Abdallah, le président du Conseil d’Administration de DCMP, l’Exercice budgétaire 2017-2018 a été conclu à 2,461 millions USD. « Pour parvenir à tenir cette saison difficile, nous avons mobilisé 2.495.197 USD contre des dépenses de 2.461.197 USD. Notre solde à ce jour est de 34.000 USD.Nos prévisions pour la saison 2018-2019 sont de l’ordre de 4,353 USD pour espérer aller loin en compétition africaine et reprendre notre place à la tête du football national congolais.Ces moyens devront être mobilisés à temps, car la saison qui s’annonce sera difficile,vu les modifications qui s’annoncent en Vodacom Ligue 1, mutation du championnat en format direct, DCMP doit bien ménager sa monture car il y aura des grands duels dès l’entame », a-t-il indiqué.
« Tout ce qui se raconte à l’encontre des idéaux du club ne saura nous détourner de nos objectifs de faire du Daring Club Motema Pembe, un grand club qui va rayonner en Afrique. Tout en soulignant que nous ne nous laisserons plus faire face aux méthodes des barbares du club. L’Unité du DCMP doit se trouver dans le cœur de tous et ne doit pas être un slogan qui profite à ceux qui veulent tout détruire comme il y a encore quelques années », a conclu Hassan Abdallah.
Ce, avant de proposer aux « Imaniens » le projet « DCMP SOCIETE » à objet sportif. Ce dernier, permettra à DCMP de sortir de ses nombreuses crises structurelles et palier les difficultés financières.
Cédric Sadiki/ LA